Marc-André Fleury, des Golden Knights de Vegas, a partagé avec Sonnet la recette secrète de son succès
Photo d’enfance et actuelle de Marc-André Fleury
Marc-André Fleury, gardien de but étoile des Golden Knights de Vegas, a eu une prolifique carrière dans le hockey junior, mais elle n’a rien à voir avec son incroyable carrière professionnelle. Étonnamment, passer d’une à l’autre lui a déjà semblé impossible.
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[Nous ouvrons sur une toile de fond noire avec Marc-André Fleury.]

[Texte à l'écran : logo de Sonnet]

[Texte à l'écran : Présente Hier vs Aujourd’hui]

[Texte à l'écran : Avec Marc-André Fleury, Golden Nights de Vegas]

>>MARC-ANDRÉ : Quand j’ai cru avoir une chance de pouvoir percer dans la Ligue nationale, c’était très tard. Quand j’ai été repêché, c’est la fois où je suis allé au camp d’entraînement et j’ai vu que j’étais capable d’arrêter les rondelles dans la cage. J’ai arrêté Mario Lemieux et j’ai dit « Hey! ».

[Texte à l'écran : Aujourd’hui, tu joues dans la Ligue Nationale. C’est comment?]

>>MARC-ANDRÉ : Des fois, c’est stressant un peu, surtout quand tu joues des matchs dans les séries. Il y a tellement de monde dans l’aréna. La pression est là. Le stress monte. Je ne pense pas qu’il y a beaucoup de jobs dans le monde qui peuvent t’amener à avoir des expériences comme ça, puis d’avoir des feelings comme ça, des émotions comme ça dans un match. Je pense qu’il faut en profiter aussi.

[Texte à l'écran : Qu’est-ce qui t’as poussé vers le hockey?]

>>MARC-ANDRÉ : J’ai toujours joué au hockey parce que j’adorais jouer. Mon père m’a toujours dit : travaille fort puis amuse-toi. C’était ça les deux choses les plus importantes.

[Texte à l'écran : Est-ce que tes parents t’ont toujours soutenu?]

>>MARC-ANDRÉ : Je dois beaucoup à mes parents, je crois, pour leur support. Ils ont tellement fait de sacrifices pour nous amener à l’aréna tôt le matin avant l’école et après l’école. On a fait beaucoup de voyagements aussi pour aller jouer dans différentes villes aux alentours de Sorel.

[Texte à l'écran: Avec le recul, quels moments de ta carrière t’ont le plus marqué?]

>>MARC-ANDRÉ : Quand je suis parti de la maison, je ne croyais pas faire l’équipe Junior à Cap-Breton. Mais quand ils m’ont dit que j’allais rester, j’étais très content, très fier d’avoir fait l’équipe. C’est sûr des fois c’était tough de partir et laisser les amis en arrière, laisser la famille aussi, car on était quand même une famille proche. Ça a été les moments les plus difficiles, mais en bout de ligne ça m’a aidé à réaliser mon rêve.

[Texte à l'écran : Logo de Sonnet + logo de l'AJLNH]

[Marc-André Fleury est un porte-parole payé pour Sonnet. AJLNH, l’Association des joueurs de la Ligue Nationale de hockey et le logo de l’AJLNH sont des marques de commerce de l’AJLNH utilisées sous licence. ©AJLNH. Tous droits réservés. Sonnet Assurance est une marque déposée. Sonnet Assurance est une compagnie d’assurance sous réglementation fédérale]

Fait réel: Marc-André Fleury a mis beaucoup de temps à réaliser qu’il avait le potentiel de jouer avec les pros! « Quand j’ai cru avoir une chance de pouvoir percer dans la Ligue nationale, il était très tard. Quand j’ai été repêché, c’est la fois où je suis allé au camp d’entraînement et j’ai vu que j’étais capable d’arrêter les rondelles dans la cage. J’ai arrêté Mario Lemieux! », exprime Fleury. La suite a été plutôt heureuse pour cet humble gars de Sorel au Québec.

En tant que partenaire de l’AJLNH, nous avons eu la chance de rencontrer le Québécois Marc-André Fleury pour une courte entrevue dans le cadre de notre série Hier vs aujourd’hui. Il nous a parlé de ses débuts et de la façon dont sa famille a contribué à faire le joueur et l’homme qu’il est aujourd’hui. Depuis qu’il a sauté sur la glace pour la première fois et joué au hockey, son sport favori, sa vie a changé.

« Je ne pense pas qu’il y a beaucoup de jobs dans le monde qui peuvent t’amener à avoir des expériences comme ça, puis d’avoir des feelings comme ça, des émotions comme ça dans un match. Je pense qu’il faut en profiter aussi. »

Marc-André est un homme passionné. Il est passionné par son sport; il donne son 110 %, tant sur la glace que dans sa vie personnelle. Depuis 2003, il a joué près de 800 parties avec les pros; il en a gagné 439 et sa moyenne de buts alloués est de 2,55. À l’extérieur de l’aréna, il fait la promotion du hockey et partage les valeurs, les avantages et la discipline que ce sport peut inculquer aux jeunes, en plus de travailler auprès d’organismes de bienfaisance. En 2017, il a fait don d’un nouveau terrain de jeux génial à Pittsburgh, un projet sur lequel il a travaillé avec sa femme Véronique Fleury et la Fondation des Penguins de Pittsburgh. Le terrain de jeux Sto-Ken-Rox Boys and Girls Club est maintenant ouvert et contribue à améliorer la qualité de vie de nombreux enfants.

Il sait à quel point il est chanceux, mais il comprend réellement les répercussions du stress vient avec le travail et ce mode de vie. Il dit qu’il aime, voire adore, la gamme d’émotions que lui fait vivre une partie de hockey. Marc-André note : « Je ne pense pas qu’il y a beaucoup de jobs dans le monde qui peuvent t’amener à avoir des expériences comme ça, puis d’avoir des feelings comme ça, des émotions comme ça dans un match. Je pense qu’il faut en profiter aussi. »

Travaille fort et… amuse-toi! 

Marc-André Fleury a ajouté:

« J’ai toujours joué au hockey parce que j’adorais jouer. »

C’est logique, car lorsque ce joueur étoile des Golden Knights a commencé le hockey, enfant, son père André Fleury lui a répété la même chose, encore et encore : « Travaille fort, puis amuse-toi! »

Cette expression semble l’avoir inspiré à s’amuser en jouant au hockey, mais elle lui a également appris comment devenir le joueur accompli qu’il est aujourd’hui. De Sorel à Las Vegas, Marc-André a toujours aimé le jeu. Non seulement il est reconnaissant de ce conseil de son père, mais il est également reconnaissant des sacrifices que ses parents ont faits depuis le tout début. Des pratiques tôt le matin aux tournois en dehors de la ville, en passant par les périodes d’entraînement… le hockey devait être une priorité, non seulement pour lui, mais pour toute la famille Fleury. Heureusement pour lui, même sa famille éloignée a fait partie de l’aventure. Il n’était pas rare de voir des membres de sa famille se déplacer sur de grandes distances pour l’encourager et le regarder jouer.

C’est donc normal que de laisser derrière lui cette famille et son groupe d’amis tricotés serrés ait été difficile pour Marc-André lorsqu’il est déménagé à Cap-Breton pour jouer au hockey. Marc-André se souvient encore des maux de tête qu’il avait à devoir tout traduire vers le français lorsqu’il s’y est installé. Plus d’une décennie après, lorsqu’il y repense, il sent qu’il a pris la bonne décision, et celle-ci a visiblement porté fruit! Comme il a dit : « Ça a été les moments les plus difficiles, mais en bout de ligne, ça m’a aidé à réaliser mon rêve. »


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